J’aime aider les participants à résoudre ce casse-tête.

Jeanne-Marie, 57 ans, retraitée, bénévole dans l’association « On fait un jeu », Attiches (59)

Publié le 27/05/2019 dans la Maxi n°1700

Je suis une passionnée du Rubik’s Cube, ce jeu de casse-tête géométrique avec des facettes de plusieurs couleurs. J’en détiens 225 exemplaires. Lorsque j’ai pris ma retraite, j’ai découvert l’association « On fait un jeu », qui organise des soirées le week­end dans les médiathèques et les salles des fêtes dans ma région. J’avais poussé la porte un soir avec l’un de mes enfants et ma petite-fille pour y passer un bon moment et j’ai tout de suite apprécié l’ambiance ainsi que le fait de pouvoir jouer avec des personnes que je ne connaissais pas. Il y a quelques années, j’y suis devenue bénévole. Régulièrement, j’apporte mes 225 cubes et j’apprends aux participants à résoudre ce casse-tête. J’adore ça ! J’interviens également clans un collège deux fois par semaine pendant la pause déjeuner. Je propose aux jeunes un atelier pour leur apprendre à résoudre le cube ou à le faire le plus vite possible. J’organise des défis chronométrés qui les amusent beaucoup et, une fois par mois, nous réalisons une mosaïque avec les cubes : on a déjà réalisé des trains, une crèche… Outre le travail de la logique et de la visualisation dans l’espace, le Rubik’s Cube permet aussi d’être créatif !

Et même si c’est un jeu des années 1980, il correspond bien à cette période de l’adolescence ou l’on aime relever des défis. Les jeunes sont d’ailleurs très fiers de montrer à leurs parents qu’ils arrivent à résoudre ce fameux Rubik’s Cube, qui trône parfois sur une étagère a la maison, mais que leurs parents ne parviennent plus à faire en entier.